dimanche 22 mars 2015

Acte 2 L'envie / Act two : cravings / Secundo atto : voglie

Qu'on m'les donnes à chausser, dans la lumière.
Qu'on m'les donnes à ma faim ma soif, puis en festin.
Qu'on m'enlève ce qui est vain et secondaire,
Pour que je trouve l'exquis gout de ta plante, enfin.

Qu'on me donne une paire, pour que j'aime dormir.
Qu'on me donne tes formes car moi j'en suis fan.
Pour que j'aime ta chair et te donne mon viril,
Et qu'on les enferme un an sans ma bouche ils se fanent.

               Ils m'ont trop donnés, bien sur des envies
Les caresser, être à ma mercis.
          Toutes ces poses que tu as entrepris
            Qui font l'envie de vivre et le désir,

Et le plaisir aussi
              Il me donne trop envie,
               L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume nos vies. 
 




Qu'on se donne la peine, pour qu'on fasse l'amour,
L'amplitude aussi pour que je prenne tes jambes.
Pour que j'aime tes silences, qu'tu me fasse des discours,


Et baiser tes douces lèvres pour respecter, toi, femme.

       Pour que j'aime tes mains, être a l'agonie.
   Qu'on me donne tes pieds, pour que j'aime leur contour. 
Pour que j'aime leur contour, pour que j'aime tes pieds,
  Pour qu'il prennent vie, et voyant, enfin, le jour...
 
Ils m'ont trop donnés, bien sur des envies
Les caresser, être à ma mercis.
Toutes ces poses que tu as entrepris
Qui font l'envie de vivre et le désir,
Et le plaisir aussi

  
Il me donne trop envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume nos vies.

 
Ils m'ont trop donnés, bien sur des envies
Les caresser, être à ma mercis.
Toutes ces poses que tu as entrepris
Qui font l'envie de vivre et le désir,
Et le plaisir aussi
 
 
Il me donne trop envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume nos vie.

Que tu me donne envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on allume nos vies...

lundi 16 mars 2015

Acte 1 en chanson : Adorer à en perdre la raison ! / Act One : love, to lose the reason / Primo Atto : Culto, di perdere la ragione



Des pieds à perdre la raison
Des pieds à n'en savoir que dire
Ne voir qu’tes shoes à l'horizon
Une paire d’chaussure pour chaque saisons
Que par la douleur du sentir
Des pieds à perdre la raison

 
Ah c'est toujours eux que l'on caresse
C'est toujours ton talon brisé
Tes belles odeur, ton ivresse
Tes p’tites bottines que tu délaisse
Des collants chair martyrisée

Des pieds à perdre la raison
Des pieds à n'en savoir que dire
Ne voir qu’tes shoes à l'horizon
Une paire d’chaussure pour chaque saisons
Que par la douleur du sentir
Des pieds à perdre la raison
 
Des crèmes, le vernis et le froid
Toutes les misères du monde
C'est par tes cambrures que j'y crois
Les prendre en mains je deviens moi
Tes orteils dans la nuits se fonde

 
Tes pieds à perdre la raison
Tes pieds à n'en savoir que dire
Ne voir qu’tes shoes à l'horizon
Une paire d’chaussure pour chaque saisons
Que par la douleur du sentir
Tes pieds à perdre la raison

vendredi 13 mars 2015

Acte 3 : La corrida de La Louve

Depuis le temps que je patiente dans cette chaussure noire
J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante au bout du trottoir 
Quelqu'un caresse ses pieds tout doux j’ai plongé vers le grand jour
J'ai vu ses orteils, sa cambrures, un canap’ autour


Dans les premiers moments j'ai cru qu'il fallait seulement se détendre
Mais cette pièce est sans issue je commence à comprendre
Elle a refermé derrière moi elle a eu peur que je recule
Je vais bien finir par l'avoir cette piétineuse ridicule...
Est-ce que ces pieds sont sérieux ?
Est-ce que ses pieds sont sérieux ?

La frénésie, je me souviens de se dangling offert en bonus
Je ne vais pas trembler devant la voute de cette vénus !
Je vais l'attraper, elle et ses peep-toes la faire tourner sur ses orteils
Ce soir la mère du louveteau dormira sur ses dix orteils

 Est-ce que ces pieds sont sérieux ?
Est-ce que ses pieds sont sérieux ? 



J'en ai poursuivi des femmes presque touché leurs ballerines
Elles ont frappé fort dans mon esprit pour que je m'incline

Elles sortent d'où ces fétichistes, avec dans leur sac des souliers ? 
 

J'ai jamais appris à m’ébattre de si joli pieds ?
Sentir sa voute prêt de ma tête c'est fou comme ça peut faire du bien   
J'ai prié pour que tout s'arrête Frénésie je me souviens
J’les vois bouger comme je vole je les vois danser comme je succombe 
Je pensais pas que deux petons avait l'effet d'une bombe
Est-ce que les loups sont sérieux ?
Est-ce que les louves sont sérieuse ? 
Si, si hombre, hombre Baila, baila  
Hay que bailar de nuevo y mataremos otros
Otras vidas, otros toros y mataremos otros 
Venga, venga a bailar... ymataremos otros

lundi 9 mars 2015

Acte 2 : La Lupa viens à moi / Act Two : she wolf come to me / Secundo atto : la lupa venire a me


Oh toi petite louve, pied nu je te vois.

Oh toi petite louve, au soleil tu es la.

Une plante parmi les fleurs ? Mais c’est de pieds dont je te parle !

Une passion innée t’effleure, aucunement banal.

 



Un rendez vous d’hiver

Pas du tout éphémère

Continuant passionné

A caresser tes pieds.




S’offre à moi enfin cette huile de coco

Préférant masser tes pieds que ton dos.

Discussion enrichi et de tendresse tu gémi

Quand tes yeux se ferment l’extérieur s’assombrit




Et la, la nuit tombé

Tes lèvres deviennent sucrées

Avec deux ou trois sushi

Je ne peux plus résister.



 Entre tes doigts de pied

De mes mains j’en place un

Voila donc un sushi

Dans un merveilleux écrin

 



Tu te dévoile enfin à mes yeux ébahi

Mon coté bestial aussitôt resurgit

Je suis pour toi une proie étrangement autoritaire

Que tu goute ma chair jamais te laisserais faire.




Tu es une louve douce tendre loin d’être grégaire

De mes mains je te couve, prêt pour l’imaginaire

Oh toi petite louve dans ton lit je te suis

Oh toi petite louve je me livre sans merci



mercredi 4 mars 2015

Acte 1 : Louve y es tu ? / Act one : wolf you're there? / Primo atto : la lupa ci sei ?

Au détour d'une rencontre, 
un voyage hors du commun, au dessus du calvaire s’érige une foret sans fin.
Un shooting particulier, dirons nous atypique, plus ou moins improvisé, au détour de belle boutiques me voila donc charmé.
Intrigué voir même curieux né, je vous fait vivre cette rencontre comme si vous y était.

Les après-midi où "La Louve" joue et sourit de joie, aussitot la lune s'arrondit on comprend mieux pourquoi.
Lorsque elle pleure, elle décroît,
mais un berceau de lueur à ses pieds j'aperçois.


Avec un nom pareil
Elle aurait pu allaiter Romulus et Remus
Mais devant de beaux orteils
Fallait-il encore que je le susse.

Je te découvre à Nantes
Ta démarche bringuebalante
Loin d'être lancinante
Au point d'être envoutante.


M'offrir tes pieds 
Pour en prendre soin
Dans un langoureux massage
Je n'y est vu, en rien, un geste de libertinage.


Dans la nuit brillent mes yeux,
Remplis de braises, remplis de feu,
Sur toi je veille à pas de loup,
Je rode en cercle comme un fou.




Je t'apprivoise la bouche grande ouverte,
Mes crocs plantés feront ta perte,
Libérant toute ma rage,
Quand ma douceur devient sauvage...