Eté deux
mille quinze, quelque part dans l' Grand Ouest
J’ai sauté sur l’occaz pour apparaitre en un geste
La porte de l’immeuble claque encore ; dehors, le vent fouette la poussière
Je galope vers mon sort sans jamais r'garder derrière
Est-ce qu'elle cherche ou est-ce qu'elle fuit ? Est-elle sûr ou incertain ?
Est-ce qu'elle tente de rattraper ou d'échapper à son destin ?
A quoi ressemble son avenir ? Une évidence ou un mystère ?
Ils se fabriquent un empire, il est fait d'ombre ou de lumière
(Elle:) J’ai sauté sur l’occaz pour apparaitre en un geste
La porte de l’immeuble claque encore ; dehors, le vent fouette la poussière
Je galope vers mon sort sans jamais r'garder derrière
Est-ce qu'elle cherche ou est-ce qu'elle fuit ? Est-elle sûr ou incertain ?
Est-ce qu'elle tente de rattraper ou d'échapper à son destin ?
A quoi ressemble son avenir ? Une évidence ou un mystère ?
Ils se fabriquent un empire, il est fait d'ombre ou de lumière
De l'ombre ou de la lumière, lequel de nous deux espère ?
Ils marchent tout deux vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu’on espère
Retrouver nos beaux sourires, toutes les lois de l’univers
Ils marchent tout deux vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu’on espère
Retrouver nos beaux sourires, toutes les lois de l’univers
(Lui:)
C'est l'hiver en deux mille seize, quelque part à Naoned
J'ai allumé mon appareil, pour elle, sous la lumière des leds
La porte du salon tremble encore ; dehors, la pluie fouette le bitume
Voila ma ruée vers laure. La lumière, ses pieds, j’assume
C'est l'hiver en deux mille seize, quelque part à Naoned
J'ai allumé mon appareil, pour elle, sous la lumière des leds
La porte du salon tremble encore ; dehors, la pluie fouette le bitume
Voila ma ruée vers laure. La lumière, ses pieds, j’assume
Ma passion
pour les petons, les siens sont à la hauteur
C'est une séance où elle les montres ou une séance contre sa peur
C'est toujours les mêmes idées, je vise sa douceur droit devant
Elle maintien ses voutes cambrés, enfin j’peux me sentir vivant
C'est une séance où elle les montres ou une séance contre sa peur
C'est toujours les mêmes idées, je vise sa douceur droit devant
Elle maintien ses voutes cambrés, enfin j’peux me sentir vivant
De l'ombre ou de la lumière, lequel de nous deux espère ?
Ils marchent tout deux vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu’on espère
Retrouver nos beaux sourires, toutes les lois de l'univers
(Lui:) Ils marchent tout deux vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu’on espère
Retrouver nos beaux sourires, toutes les lois de l'univers
C'est toujours les mêmes idées, on vise la douceur droit devant
(Elle:)
As-tu peur que l’amour s'achève ?
(Lui:)
Mais ma quête est bien sensée
(Elle:)
As-tu mis un mot sur toutes nos lèvres... nos lèvres ?
(Elle:)
As-tu peur que l’amour s'achève ?
(Lui:)
Mais ma quête est bien sensée
(Elle:)
As-tu mis un mot sur toutes nos lèvres... nos lèvres ?
(Elle:)
De l'ombre ou de la lumière, deux astres qui enfin s’éclairent.
On marche vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu'on espère
Trouver enfin ton sourire, dans cet ombre qui est lumière
Trouver enfin ton sourire,
dans cet ombre qui est lumière
On marche vers le soleil, dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière, depuis le temps qu'on espère
Trouver enfin ton sourire, dans cet ombre qui est lumière